Ne crains rien de Dean Koontz
Je
ne connaissais
rien à cet
auteur, rien
de ces écrits.
Mais, heureuse
que je suis de
l’avoir
connu, car il
m’a inspiré
le goût de
relire et cela
m’a été bénéfique,
selon moi du
moins. Ce qui
m’a tout
d’abord
attirée vers
son livre,
c’est la
couverture
mystérieuse
et bleutée où
un
visage
indistinct y figure.
Cela
m’intriguait
et je n’ai
pu m’empêcher
de vouloir en
savoir un peu plus
long. Je me
suis alors
laissée
tenter et
j’ai lu le résumé
du roman derrière,
ce qui m’a
immédiatement
convaincue
d’apporter
avec moi cet
univers étrange
que pourrait
sans doute me
procurer ce
livre. Et je
ne regrette
rien, car
l’histoire
est excellente
et nous
transporte
dans une autre
vision de la
vie qui
pourrait bien être
telle.
Ce
roman compte
près de 400
pages et
l’histoire
s’écoule
durant à
peine quelques
heures, mais
tout est si
entraînant
que la lecture
devient ni
ennuyante ni
difficile. Christopher,
le personnage
central et
lequel nous suivons
durant tout le
livre, est
atteint
d’une
maladie grave
et rare qui le
pousse à
vivre durant
la nuit.
C’est donc
en ces espaces
obscurs que se
passent la
majorité des
péripéties
que doit vivre
cet homme.
Avec son fidèle
ami Orson, son
chien, il
parcourt la
ville de
Moonlight Bay
à la
recherche de
la vérité.
Cependant,
celle-ci n’est pas
toujours bonne
à savoir et
c’est ce que
tenteront de
lui montrer de
façon assez
directe certains
individus. Cependant,
Christopher est
entêté et
continuera ses
recherches,
quitte à
mettre sa
propre vie
en danger. Par
contre, son
besoin de
connaître diminuera un
peu lorsque
tout apparaîtra
à lui et que
l’existence
des êtres
chers à ses
yeux sera également
mise au pied
du mur.
Bref, je suggère ce thriller à toutes les personnes qui ont soif d’émotions intenses et qui apprécient de loin le mystère extraordinaire que peut nous procurer une simple histoire. Il a été dit que Dean Koonzt a su séduire son public par son sens du détail dans la terreur et par la tension qui se dégage de ses thrillers. Je suis tout à fait d’accord avec cela. Enfin, il m’a incontournablement séduite.
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